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Surface en marbre

2025 : La fin d'un cycle destructeur.

  • Photo du rédacteur: Baliforniia
    Baliforniia
  • 6 déc.
  • 6 min de lecture
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Chers lecteurs, je vous retrouve une nouvelle fois avec joie et plaisir d'écrire sur un sujet qui à mon sens à une importance capitale surtout ces derniers temps... cette fin d'année 2025 en dent de scie. Une année éprouvante pour tout le monde et surtout destructrice !



Introduction :


2025 restera gravée comme une année lourde, dense, suffocante. Une année où le poids de l’invisible a pesé aussi fort que les crises visibles. Mentalement et psychologiquement, beaucoup ont eu l’impression de traverser un tunnel sans lumière, où les certitudes se brisaient et où les émotions affluaient sans répit. L’usure, la fatigue, la surcharge mentale ont touché des millions de personnes, comme si l’époque elle-même avait décidé de mettre chacun face à ses propres limites...

Sur le plan astrologique, 2025 était une année en 9, symbole de fin de cycle, comme une vague de nettoyage radical. Les anciennes structures intérieures se sont effritées, les anciennes croyances se sont effondrées, et ce qui n’était plus aligné a été arraché sans ménagement. Beaucoup ont parlé d’un “coup de balai cosmique”, d’autres d’une purge nécessaire. Quoi qu’il en soit, l’énergie dominante était celle de la dissolution, parfois libératrice, mais souvent douloureuse.

Dans l’atmosphère générale du pays, une tension déjà présente depuis plusieurs année, s’est vraiment installée et s'est, à mon humble avis empirée. Pas forcément explosive, mais profonde. Une sensation collective d’essoufflement, de ras le bol, de lassitude.

2025 a été destructrice, oui, mais dans le sens d’une fin inévitable, presque écrite d’avance. Une année où les masques sont tombés, où les illusions se sont dissipées, où chacun a dû regarder droit dans ce qu’il évitait depuis longtemps. Et au cœur de ce chaos intérieur et collectif, une vérité s’est révélée : pour renaître, il faut accepter de laisser mourir ce qui n’a plus sa place.



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  • Année en 9 : L’énergie de la fin et de la purge :


Dans la symbolique astrologique, l’année 9 est une année de clôture, de nettoyage, de dissolution. C’est la dernière marche avant un nouveau cycle, et elle porte en elle une force presque implacable : celle de mettre fin à ce qui ne peut plus continuer. En 2025, cette énergie s’est ressentie avec une intensité rare. Beaucoup ont eu l’impression de vivre une succession de fins : fin de relations, fin d’illusions, fin de projets, fin de situations stagnantes. Comme si le monde extérieur entrait en résonance avec un processus intérieur global. C'est une énergie chirurgicale, parfois brutale, sans détour. Ce qui n’était plus aligné a été arraché ; ce qui appartenait au passé s’est effondré naturellement. Pour certains, cela a pris la forme de ruptures inattendues. Pour d’autres, d’une prise de conscience fulgurante, presque violente, qui ne laissait plus la place au déni.

2025 a donc fonctionné comme une purge, non seulement sur le plan personnel, mais aussi collectif. Une sorte de grand ménage karmique. Les émotions refoulées sont remontées, les non-dits se sont révélés, les situations toxiques se sont désintégrées. C’était une année où l’univers semblait dire : « Ce que tu refuses de quitter, je t’en libère de force.»

Mais dans cette destruction apparente, il y avait un sens profond : celui de préparer le terrain. Car l’année 9 ne détruit jamais par cruauté ; elle détruit pour dégager l’espace. Pour que, dans le cycle suivant, quelque chose de réellement nouveau puisse naître. 2025, par son énergie de fin, était en réalité une année d’ouverture invisible. 2026, année 1, sera synonyme de renouveau, d’impulsion et de recommencement. Alors tout n'est pas perdu, mais n'oubliez pas que c'est de par vous que tout commence et se mets en place ! Si vous voulez changer quelque chose, il n'y a que vous qui pourrez en être maître.





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  • Une fatigue psychologique et sociétale:


En 2025, la fatigue psychologique n’a épargné personne. Elle s’est infiltrée partout, dans chaque foyer, chaque milieu, chaque génération. Peu importe l’âge, le statut social ou la situation personnelle : une même lassitude semblait peser sur les épaules de tous. Non pas une simple fatigue passagère, mais une usure profonde, un épuisement intérieur qui s’accumule depuis des années et qui, cette fois, est apparu au grand jour.

Cette fatigue n’était pas seulement liée aux événements, mais à tout ce qui s’est superposé au fil du temps : les incertitudes économiques, les tensions atmosphériques, la surcharge d’informations, les changements rapides et incessants, le manque de stabilité. Chacun, à son niveau, a ressenti ce trop-plein. Les gens parlaient moins, souriaient moins, se plaignaient beaucoup parce qu’ils avaient besoin d’exprimer ce qui pesait sur leur cœur.

Les émotions ont été lourdes et persistantes. Un simple désagrément devenait écrasant. Un petit retard prenait la dimension d’un obstacle insurmontable. Beaucoup ont décrit une impression étrange : celle de vivre au ralenti, comme si leur esprit n’arrivait plus à absorber la densité du quotidien. Les nuits étaient moins réparatrices, les journées plus étouffantes. Les relations demandaient un effort supplémentaire. Même les plaisirs habituels semblaient perdre leur saveur. Et croyez-moi, je l'ai vécu hardement aussi....

Cette fatigue psychologique a aussi amplifié la sensibilité collective : la moindre tension résonnait plus fort, la moindre nouvelle pesait davantage. Il ne s’agissait pas seulement d’un phénomène individuel, mais d’un climat émotionnel partagé, presque palpable dans l’air. On le ressentait dans les discussions, dans les regards, dans l’ambiance générale : un peuple à bout de souffle, vidé de ses ressources internes.

Et pourtant, au cœur de cette lassitude générale, quelque chose d’important s’est produit : pour la première fois, beaucoup ont compris qu’ils n’étaient pas seuls à ressentir cette lourdeur. Cette fatigue universelle a créé une forme de reconnaissance silencieuse, un moment de vérité où chacun, malgré les différences, partageait la même humanité fragilisée. Une prise de conscience collective qui, paradoxalement, peut devenir la fondation d’un renouveau intérieur. Mais cela prendra du temps dans ce monde où l'on passe son temps à tenter de diviser le peuple...





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  • L’intention de renaître en 2026:


Après l’intensité de 2025 et tout ce qu’elle a arraché sur son passage, l’année 2026 s’annonce comme une respiration profonde, un premier pas hors de l’ombre. Si 2025 a été la fin, 2026 peut être le commencement — l’année 1, celle qui porte l’énergie du renouveau, de l’élan, de l’initiative. Mais renaître ne se fait jamais par hasard : c’est un choix. Une intention intérieure, douce mais ferme, de ne plus avancer comme avant. En 2026, chacun porte en lui cette volonté de recommencer autrement, de reconstruire sur des bases plus saines, plus vraies, plus alignées. C’est une année qui invite à récupérer ce qui a été perdu : la confiance, la clarté, l’envie de créer. Une année où l’on se permet enfin de rêver à nouveau, mais avec plus de maturité, plus de conscience, comme si les épreuves de 2025 avaient révélé ce qui compte vraiment. Cette renaissance n’est pas spectaculaire ; elle est subtile, progressive, intime. C’est la lente reconstruction d’un être, d’une société, qui comprend que le chaos n’était pas une fin, mais un passage vers une version plus lucide et plus solide de soi-même.




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Conclusion :


2025 s’éteint comme un dernier souffle, lourd de tout ce qu’il a fallu laisser derrière. On quitte cette année, le cœur encore marqué par les secousses, par tout ce qui nous a dit adieu, mais être plus légers d’avoir traversé la tempête d'un long cycle de 9ans.

2026: Une année qui s’ouvre. Une année qui n’arrive pas avec fracas, mais avec la délicatesse. On ne renaît pas d’un coup ; on renaît petit à petit. Avec le slogan: « Tu as survécu. Maintenant, tu peux avancer. » Entre la fin d’un cycle et le premier souffle du suivant. Allez vers ce que vous voulez, allez chercher la vie que vous vous êtes créée dans vos têtes !Après des moments difficiles on a souvent envie de se délester de ce mal que nous avons trop intériorisé, et là c'est le moment ! Alors 2026 est une invitation à ce changement, restez tout de même vigilants, car tout le monde ne bénéficiera pas des belles énergies de cette nouvelle année qui arrive, cela dépend de la volonté de chacun et des choix et chemins empruntés...quoi qu'il en soit n'oubliez pas que si vous voulez du changement autour de vous, commencez à vous changer de l'intérieur.





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Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne nouvelle année 2026, posez vos intentions, entamez ce changement pour vous, libérez-vous de 2025, protégez-vous et surtout...PRENEZ SOIN DE VOS COEURS !


Lilou.♥

 
 
 

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